|
Originaire des contreforts de l’Himalaya, le concombre est domestiqué et diffusé très tôt : dès 5000 ans avant J.C. en Chine, au moins 800 ans avant J.C. en Egypte…
Appartenant à la famille des Cucurbitacées, l’espèce Cucumis est cultivée sous deux formes : – cornichon, lorsque les variétés sont à petits fruits, à épiderme plus ou moins verruqueux. – concombre, lorsque les fruits sont plus longs, plus volumineux et à l’épiderme plus lisse. On distingue en général 2 types de concombre. le concombre « épineux » appelé ainsi en raison des quelques légers piquants, isolés, surmontant une partie de l’épiderme du fruit demi-long. Détrôné par le classique concombre long en France, ce fruit traditionnel dans le Midi continue à y être fréquemment cultivé et consommé. Mais c’est le concombre long, dit « de serre » ou « hollandais » (apparu aux Pays-Bas, après la seconde guerre mondiale) qui domine sur les étals. Long et rectiligne, bien lisse et dépourvu d’amertume, il fut un pionnier de la culture sous serres en verre (dont il stimula le développement) et fut largement plébiscité par les consommateurs qui assurèrent sa quasi domination sur le marché.
Désaltérant et léger en calories Le concombre fait partie des lègumes les plus riches en eau, puisqu’il en renferme plus de 96 %. Sa chair, comme celle des autres cucurbitacées (courgette, melon, potiron…), est constituée de cellules végétales gorgées d’eau de constitution. Reminéralisant Le concombre contribue efficacement à couvrir le besoin minéral, et cela de façon très équilibrée : de nombreux minéraux sont dissous dans son eau de constitution, et présents à des taux physiologiquement utiles. Pour une meilleure digestibilité La texture particulière du concombre le rend parfois difficile à digérer par des personnes ayant un système digestif sensible. Pour améliorer la tolérance du concombre, il est conseillé de :
Source : Aprifel |

